Villa AD

Ce projet présentait de nombreux défis à relever.

Tout d'abord, la forte déclivité du terrain. Nous avons donc pris le parti d'une architecture contemporaine avec des niveaux décalés suivant la pente naturelle du terrain.

Secondement, nous étions dans un secteur soumis à l'approbation de l'architecte des bâtiments de France puisque notre projet se situait à moins de 300 mètres d'un bâtiment classé. Nous avons donc établi un dialogue avec l'ABF et avons dû démontrer à l'urbanisme que notre construction n'était en aucun cas visible depuis un monument historique.

Enfin, et là consistait notre plus grand défi, suivant les règles de cette zone du PLU, pour chaque arbre de hautes tiges abattu, nous devions en replanter deux. Notre parcelle contenait déjà 40 arbres.

Nous avons donc résolu l'un après l'autre ces problèmes et sommes arrivés à une solution autant fonctionnelle qu'esthétique tout en parvenant à maîtriser le budget global de la construction.